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mercredi 31 août 2011

INDES ET INFANTICIDES BRITANNIQUES ET DU G-8 CONTRE LES PAUVRES

INDES ET INFANTICIDES BRITANNIQUES ET DU G-8 CONTRE LES PAUVRES
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Évidemment il fallait pour Londres à la fois se montrer conciliants tout en planifiant un assassinat ne semblant pas venir d'eux afin de se disculper de tout et.....
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INFANTICIDES DES ÉTATS EUGÉNISTES ACTUELLEMENT PARTOUT DANS LE MONDE

Les Valeurs Fraternelles établissent naturellement l'Ordre et l'abondance
Toujours faire des choix de vies au lieu de morts
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L'AVORTEMENT EST UN MEURTRE D'ÉTAT PUIS COLLECTIF
La majorité des femmes pauvres et enceintes ne veulent pas avorter mais qu'on les aide financièrement.... MAIS.... les bourgeoises égoïstes viennent les écraser, les humilier et leur offrir leur solution démoniaque de tuer au lieu d'aider
On parle de ''surpopulation'' car on ne veut rien partager!
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La théorie de Viny Eden sur la géo-Économie : ''Plus il y a de gens sur Terre et : plus il y a de cerveaux; plus il y a de coeurs; plus il y a des évolutions; plus il y a du Partage: plus il y a de la place pour tous........ au contraire des égoïstes qui s'accaparent de tout, des Îles, des Pays, ......'

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Et inversement à la Théorie économique de Viny Eden.... moins il y aura de gens sur Terre et moins il y aura de l'Amour; et plus il y aura de guerres, de maux et de maladies..... L'égoïsme règnera, la vie de combat et de luttes permanentes des uns sur les autres ..... Regardez ces prédateurs insatiables que sont les loups: lorsqu'on les laisse à eux-mêmes, en peu de temps il n'y a plus âmes ni animaux qui vivent autour d'eux tellement ils tuent tout ce qui bouge.... et ce n'est pas pour rien que la France et l'Angleterre on isolé les meutes de loups dans des parcs afin de protéger la biodiversité des forêts naturelles
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INTERRUPTIONS NON DÉSIRÉES DE GROSSESSES POURTANT DÉSIRÉES MAIS EN ÉTANT PAUVRE ET DISSUADÉES PAR TOUS

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L'AVORTEMENT EST UN MEURTRE D'ÉTAT PUIS COLLECTIF
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La théorie de Viny Eden : ''Plus il y a de gens sur Terre et : plus il y a de cerveaux; plus il y a de coeurs; plus il y a des évolutions; plus il y a du Partage: plus il y a de la place pour tous........ au contraire des égoïstes qui s'accaparent de tout, des Îles, des Pays, ......'
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lundi 29 août 2011

INNONDATIONS CRÉÉES PAR NOS ÉTATS

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OURAGANS MILITAIRES





Un lieutenant travaillant le Comité de la Défense Nationale avoue que nos États créent des orages et savent les arrêter ou du moins en contrôler les intensités

Le lieutenant Livingston, accuse les États-Unis de ne pas essayer de diminuer la vigueur des ouragan car il affirme dans ce vidéo qu'ils savent le faire depuis des décennies..... Il dit qu'il se demande pourquoi nos Gouvernements ne contrôlent pas mieux que cela les grandes orages dévastatrices et il suggère qu'ON DEVRAI INTENTER DES PROCÈS CONTRE NOS ÉTATS ET LES ACCUSER DE NON-INTERVENTION alors qu'ils ont tout le matériel nécessaire et toute la Technologie au point pour cela

Météo militarisé: Ben Livingston Parle

Ben Livingston est la première personne au monde à être créditée pour la création de systèmes de modification du climat à des fins militaire. Dans cette interview, Livingston discute de ses recherches et de ses expériences sur l'ensemencement des nuages. Il nous parle aussi de son implication sur les armes climatiques utilisées lors de la guerre du Vietnam pendant l'opération Popeye et de sa participation au projet Stormfury.


Episode 1

Episode 2


Episode 3

Nos Bases militaires créent des orages à notre insu, elles expérimentent sur nous
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Refusons de jouer aux cobayes
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La Technologie Militaire est dirigées contre les peuples
Un soldat ne fait pas Allégeances à l'Humanité ni aux populations mais qu'à son État ....
eugéniste
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Dans cette suite de vidéos, correspondant à des interviews menées par Alex Jones, on découvre que l'armée américaine savait parfaitement manipuler les couvertures nuageuses, en combinant des bonnes connaissances météorologiques et l'usage de particules d'iodure d'argent, servant de "noyaux" autour desquels la vapeur d'eau présente dans l'air pouvait se condenser, dès lors que ces masses d'air, surchargées d'humidité, étaient en conditions surcritiques. Le tout était de procéder à cette dispersion, au bon endroit et au bon moment.

La consultation de météorologues français débouche sur le recours à "des fusées paragrèle", c'est à dire à des actions très locales et à brève échéances, empiriques et plus ou moins couronnées de succès. Le discours de Ben Livingstone est d'une teneur totalement différente. Les actions évoquées par celui-ci se fondent sur une connaissance extrêmement pointue des phénomènes météorologiques, de leur état et des mécanismes qui contrôlent leur évolution. Il ne s'agit alors pas d'actions dont les effets se feraient sentir dans l'heure qui suit, mais d'actions impliquant des dépôts judicieux de semence (iodure d'argent) à des endroits bien précis et au bon moment, ceci sur des durées se chiffrant en jours, quoique mettant en oeuvre un nombre très réduit d'appareils ( deux en général ) et des quantités de produit qui vont de quelques kilos à quelques dizaines de kilos tout au plus. .

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Le prince Philip, le mari de la reine d'Angleterre, a dit: ''Si j'étais pour revenir dans cette vie après ma mort, JE VOUDRAIS REVENIR EN UN VIRUS MORTEL afin de réduire la population mondiale à 500 millions d'habitants''
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Le commandant environnementaliste Philippe Cousteau était aussi eugéniste, il préconisait de laisser mourir 350 00- humains chaque jour afin de contrer la soi-disant ''surpopulation''.
Ces bourgeois militaires parlent de surpopulation car ils ne veulent rien partager.... On est plutôt en surpopulations de cons, d'égoïstes, des 1009 cousins germains avec la Couronne Britannique (comtes, barons, ducs, princes....)
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La condensation de la vapeur d'eau entraîne un dégagement de chaleur (phénomène exothermique, inverse de la vaporisation, qui est endothermique)

Cette production de chaleur s'accompagne de mouvement de la masse d'air. Ainsi, une faible quantité de produit, dispersé judicieusement, peut "piloter" une météorologie locale avec efficacite, l'ampleur du phénomène dépendant que la quantité de produit répondu et de son aire de distribution..

Pourquoi de l'iodure d'argent ? Parce que sa structure cristalline est très proche de celle de la glace. C'est une substance toxique, non biodégradable.

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Ben Livingston fut un pionnier en matière de " contrôle météorologique ". Lorsqu'il évoque, dans la suite de la vidéo, la façon dont il réussit à créer un véritable déluge liquide sur le Vietnam du nord (opération Popeye ), il dit qu'au départ il a pris ce qu'il trouvait, c'est à dire un nuage relativement petit ( ce qui se présentait à cette époque de l'année, c'est à dire pendant la saison sèche). Puis il a procédé à des ensemencements successifs, à l'aide de grains d'iodure d'argent, en " cultivant " ainsi le nuage pendant 40 minutes et en réussissant à le faire croître jusqu'à une altitude de 21.000 mètres (c'est à dire à le transformer en cumulo-nimbus). Il dit qu'il n'y a pas de limite au pilotage de la croissance d'un nuage, pour peu que les conditions s'y prêtent, c'est à dire qu'il y ait de l'humidité dans l'air.

Ben Livingtsone

citation

La citation de Ben Livingston à l'ordre de la Navy

Jones Livingston

Alex Jones et Ben Livingston

stormfury1

A partir de ces premières expériences j'ai été très confiant dans l'idée qu'on pourrait faire ce qu'on voulait avec un ouragan.

oeil_cyclone

L'oeil d'un cyclone

Stormfury2

Naissance du projet Storm Fury

L'appareil ensemence la masse nuageuse à sa périphérie, en tournant autour du cyclone. L'ensemencement est réalisé sur une surface équivalant au quart de celle du cyclone. Une nouvelle couronne nuageuse ascendante se forme, avec accroissement de la taille de l'oeil central. Les quantités d'iodure d'argent utilisées dans de telles opérations sont étonamment faibles : 60 kilos au total l'opération menée sur le cyclone Debbie, impliquant 400 largages de charges de 150 grammes (des bombes à iodure d'argent, accrochées à des parachutes et à mise à feu temportisée).

Les vents sont maximaux au voisinage immédiat de l'oeil. La mécanique cyclonale conjugue l'action de cellules (en rouge) :

cellules_cyclonales

Les cellules cyclonales

renforcement cyclone

Les résultats des expériences menées dans le golfe du Mexique furent très positive

Ben Livingstone montre ici le rapport qu'il rédigea à l'attention du Pentagone. Sur la page de gauche, on voit le schéma du renforcement d'un cyclone, avec accroissement du diamètre de l'oeil et diminution corrélative des vitesses périphériques, suite à des ensemencements concentriques successifs, opérés par des avions cerclant autour de la formation initiale, le résultat ayant été une réduction des dégâts matériels d'un facteur 2. La durée de l'intervention courut sur deux jours. Avec le cyclone Debby, en 1968, il fut possible de réduire les vitesses maximales de 250 km/h à 130 km et réduisant les dégâts matériel de moitié. Ces essais s'inscrivaient dans le cadre du projet Storm Fury, dont la directrice était Mrs Joan Simpson ( assistée par son mari ). Le centre de contrôle des ouragans, en liaison avec la direction de la météorologie nationale Etats-Unienne était situé à China Lake, un centre d'essai d' rmes de la Navy, situé à 150 kilomètres au nord de Los Angelès.

china lake

Le centre d'essai d'arme de la Navy de China Lake

De très nombreuses expériences de manipulation du climat purent être effectuées, pendant plusieurs années, en particulier dans les régions désertiques proches.

Il était possible, dit-il, de couvrir une large zone, à 600 km/h, en larguant des bombes à iodure d'argent tous les 200 mètres, accrochées à des parachutes, qui explosaient ensuite en ensemençant toute la zone. Au Vietnam Ben Livingstone procéda à des manipulations climatiques à des fins militaires en pilotant un jet, pendant des années.

Au plan civil, des expériences menées au début des années soixante montrèrent qu'on pouvait très bien piloter et détourner un cyclone tropical, ce qui fut fait avec succès pendant dix ans. Mais le gouvernement des Etats-Unis préféra garder cette information top secrète, pour se concentrer sur les applications militaires.

renforcement cyclone

" ... Les résultats des essais menés sur le cyclone Debbie semblèrent si positifs que beaucoup pensèrent que la technique pourrait être opérationnelle, en procédant à l'ensemencement des cyclones les plus importants, menaçant les espaces côtiers. Une équipe de scientifiques, de l'université de Stanford, formula cette conclusion sur la base des expériences qui avaient été faites, incluant celles menées sur les cyclones Esther et Beulah. Le Docteur James Matheson, membre de ce groupe, refléta l'opinion générale, en déclarant :"Nous pensons que nous devrions être prêts à agir dès qu'un cyclone menacerait Miami ". Les scientifiques déclarèrent " Le Gouvernement doit être conscient qu'en décidant de ne pas utiliser cette technique il prend la responsabilité d'exposer les populations à des dommages matériels et à des pertes en vies humaines, liés à des phénomènes météorologiques, accrus (Pothier 1972)...".

scientifiques

Des scientifiques de l'université de Stanford

Ben Livingston dit qu'il fit extrêmement déçu que ce projet soit ainsi abandonné.

Ces techniques furent appliquées avec succès pendant la guerre du Vietnam, en provoquant des pluies rendant la " piste Ho Chi Mihn ", simple route de terre battue, impraticable.

chasseur équipé

Pendant la guerre du Vietnam, chasseur rapide équipé pour la guerre météorologique

(il était nécessaire d'opérer un survol rapide de régions fortement équipées en DCA)

Le déclenchement de pluies torrentielles emporta plusieurs ponts, d'importance stratégique, que l'aviation n'avait pu détruire.

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Ces actions furent poursuivies au Vietnam jusqu'au départ des Américains, en 1972, et pendant tout ce temps-là; dixit Ben Livingston, ce fait fut ignoré de tous, des congressistes ainsi que de la communauté internationale pendant six ans. Ces actions, ultra secrètes, se prolongèrent pendant des années et c'est seulement en 1972 que des membres du Congrès furent informés de l'existence de cette technologie de système d'arme météorologique; considéré comme ultra-secret. Les résultats obtenus firent que Ben Livingston vint lui-même à la Maison Blanche en rendre compte lui-même au président Johnson.

rapport opération Popeye

Le projet Popeye

article Science Magazine

L'article paru dans un numéro de Science Magazine de 1974, deux ans après l'enquête de congressistes concernant les actions conduites pendant six ans au Vietnam.

Après la guerre du Vietnam il fut affecté au centre de développement d'armes de Corona où il poursuivit l'études d'armes météorologiques " à l'échelle de la planète ". Quand Alex Jones lui demande s'ils firent des essais aux Etats-Unis, il lui répondu "oh oui, des tas !"

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L'officier Ben Livingston dénonce et se dénonce lui-même
quel courage et honnêteté
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Nos États sont eugénistes et se foutent de nous, de nos enfants....



L'impression qui se dégage de cette interview est qu'il s'agit d'un homme en fin de vie, qui doit avoir plus de quatre vingt ans, se sait peut être malade et veut soulager sa conscience. Ca n'est pas tellement les actions de guerre sur le Vietnam qui pèsent, mais peut être ce qui suivit, et sur quoi il est peu disert, c'est à dire sur ces systèmes d'armes météorologiques et climatiques ultra-secrets, dont il s'occupa au centre de Corona, et qui " s'étendaient à l'ensemble de la planète".

Dans la seconde vidéo, Ben Livingstone explique que la météorologie, en tout cas pour l'hémisphère nord, est déterminée par le cheminement de 5 à 7 "pertubations" qui représentent des descentes d'air froid polaire. Ces perturbations s'étendent comme des guirlandes, et sont associées à des "fronts" qui sont les lieux de naissance des formations orageuses. Quand nous observons une carte des prédiction météorologiques, à l'échelle de notre région d'Europe, nous voyons passer, d'ouest en Est, ces perturbations successives. Selon Ben Livingston, en utilisant un nombre très réduit d'avions et en effectuant des ensemencements dans des points d'activités, des zones orageuses, il serait possible de contrôler ainsi la météorologie de la planète entière, avec quelques centaines de kilos d'iodure d'argent seulement. Comme ajoute mon ami Micxhel Charpentier, ce pilotage des phénomènes météorologiques à grande échelle et de grande ampleur s'apparente à une "catalyse".

Un demi-siècle plus tard il y a lieu de penser que cette technologie a grandement progressé. Nous sommes seulement au stade où nous découvrons ces technologies et l'ancienneté de leur mise en oeuvre.

Il est théoriquement possible d'obtenir des échauffement locaux des masses d'air en agissant sur l'ionisphère, en opérant un chauffage par micro-ondes ( HAARP ).

Jusqu'à l'émergence de ce témoignage, fort précis et crédible, il était encore possible de douter de la possibilité d'agir sur les grandes catastrophes climatiques, de les contrôler, de les diriger, de les atténuer ou des les accentuer, voire de les déclencher quand la situation s'y prêtait. On se rappellera alors la dévastation de la Nouvelle Orléans due à un ouragan, après que celui-ci ait dévié sa course, évitant Houston. Suite au témoignage de Ben Livingston, on sait que dès le début des années soixante les Américains disposaient de techniques très logiques pour piloter des ouragans, à la fois en direction et en intensité. Mais mettre ces techniques en oeuvre aurait révélé un secret jalousement gardé depuis des décennies. Il est d'une importance cruciale pour le Pouvoir Impérial Américain, occulte, et à son bras armé, le Lobby Militaro Industriel, échappant totalement au pouvoir politique " en place ", de continuer d'apparaître comme un garant " des libertés ", de " la démocratie ", de la "justice " et " de l'ordre " et non comme une puissance capable d'utiliser ses ressources technologiques et le savoir faire de ses scientists in black (Article paru dans le numéro de février 1998 de la revue Scientific American, cité dans le livre de Robert Salas, The Faded Giant, page 53 ) dans un but unique de domination, de manipulation et d'asservissement des peuples.

Science sans conscience n'est que ruine de l'âme





samedi 27 août 2011

vendredi 26 août 2011

IRLANDAIS PLUS CANNIBALS QUE CERTAINS INDIENS

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SORCIÈRES REINES
FAMILLES ROYALES CANNIBALES, et encore de nos jours dans leurs confréries
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DRUIDISME ET REINES SORCIÈRES, CANNIBALISME ROYAL et chez les bourgeois de ce monde

La famille royale britannique a consommé de la chair humaine

La famille royale britannique a consommé de la chair humaine (mais ne vous inquiétez pas c’était il y a 300 ans…)


La famille royale britannique a consommé de la chair humaine (mais ne vous inquiétez pas c’était il y a 300 ans – d’après ce que dit cet article du Daily Mail en tout cas…)

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Par FIONA MACRAE

Dernière mise à jour à 00h58 le 21 mai 2011

Ils ont longtemps été connus pour leur amour des banquets somptueux et des riches recettes. Mais ce qui est moins connu, c’est que la famille royale britannique avait également un penchant pour la chair humaine.

Un nouveau livre sur le cannibalisme médicinal a révélé que peut-être aussi récemment que la fin du 18ème siècle la royauté britannique ingérait des morceaux de corps humain.

L’auteur ajoute que ce n’était pas une pratique réservée aux monarques, mais que cette dernière était répandue parmi les gens aisés en Europe.

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Le cannibalisme médicinal: Tant la reine Mary II que son oncle le roi Charles II ont consommé du crâne d’homme distillé sur leur lit de mort en 1698 et 1685 respectivement, selon le Dr Sugg.

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Le cannibalisme médicinal: Tant la reine Mary II que son oncle le roi Charles II ont consommé du crâne d’homme distillé sur leur lit de mort en 1698 et 1685 respectivement, selon le Dr Sugg.

Alors qu’ils dénoncaient les cannibales barbares du Nouveau Monde, ils appliquaient, buvaient, ou portaient de la poudre de momie égyptienne, de la graisse, de la chair, des os, du sang, de la cervelle, et de la peau humaine.

De la mousse prélevée sur le crâne de soldats morts a même été utilisée comme remède dans les saignements de nez, selon le Dr Richard Sugg de l’Université de Durham.

Le Dr Sugg, a déclaré: « Le corps humain a été largement utilisé comme agent thérapeutique, les traitements les plus populaires incluant chair, os, ou sang. »

« Le cannibalisme a été pratiqué non seulement dans le Nouveau Monde, comme on le croit souvent, mais aussi en Europe.

« Une chose qu’on nous enseigne rarement à l’école, alors que les textes littéraires et historiques de l’époque en attestent, est la suivante: James I a refusé la médecine par les corps; Charles II a transformé son propre corps en médecine, et Charles I a été transformé en médecine par les corps.

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« Avec Charles II, les utilisateurs ou prescripteurs éminents incluaient François Ier, le chirurgien d’Elizabeth I John Banister, Elizabeth Grey, la comtesse de Kent, Robert Boyle, Thomas Willis, William III, et la reine Mary.

Nouveau monde: Représentation de cannibalisme dans la tribu Tupinamba du Brésil tel que décrit par Hans Staden en 1557. Que ceci soit vrai ou non, le mythe a ignoré le fait que les Européens consommaient de la chair humaine.

L’histoire du cannibalisme médicinal, fait valoir le Dr Sugg, a soulevé un certain nombre de questions sociales importantes.

Il dit: « le cannibalisme médicinal s’est servi du poids formidable de la science européenne, de l’édition, des réseaux commerciaux, et de la théorie informée.

« Alors que la médecine par les corps a parfois été présentée comme une thérapie médiévale, elle était à son comble lors des révolutions sociales et scientifiques du début de la Grande-Bretagne moderne.

« Elle a survécu jusqu’au 18ème siècle, et parmi les pauvres, elle a persisté obstinément à l’époque de la reine Victoria.

« Indépendamment de la question du cannibalisme, l’approvisionnement en parties du corps nous semble désormais très contraire à l’éthique.

« À l’apogée du cannibalisme médicinal, des corps ou des os ont été systématiquement extraits de tombeaux égyptiens et de cimetières européens. Non seulement cela, mais jusqu’au dix-huitième siècle la plus grande part des importations en provenance d’Irlande en Grande-Bretagne étaient constituée des crânes humains.

« Que tout cela ait été pire ou non que le marché noir contemporain d’organes humains est difficile à dire. »

This painting of Charles I's execution in 1649 shows people surging forward to mop up the former King's blood. It was thought to have healing properties

Cette peinture de l’exécution de Charles Ier en 1649 montre des gens se précipitant pour récolter le sang de l’ancien roi. On pensait que ce dernier avait des propriétés curatives.

Le livre donne de nombreux exemples vivants, et souvent dérangeants, de la pratique, allant des échafaudages d’exécution en Allemagne et en Scandinavie, aux tribunaux et laboratoires d’Italie, de France et Grande-Bretagne, aux champs de bataille de Hollande et d’Irlande, et aux tribus anthropophages des Amériques.

Un tableau représentant l’exécution de Charles I 1649 montrait des gens récoltant le sang du roi avec des mouchoirs.

Le Dr Sugg dit: « Cela a été utilisé pour traiter le « mal du roi » – un problème plus souvent guéri par le contact avec des monarques en vie. »

« En Europe continentale, où la hâche tombait systématiquement sur le cou des criminels, le sang était le traitement de choix pour de nombreux épileptiques.

« Au Danemark, le jeune Hans Christian Andersen a vu des parents faire boire à leur enfant malade du sang à l’échafaud. Ce traitement était si populaire que les bourreaux demandaient régulièrement à leurs assistants de recueillir le sang dans des coupes alors qu’il jaillissait du cou des criminels mourants.

« Parfois, un patient pouvait court-circuiter ce système. Lors d’une exécution au XVIe siècle en Allemagne, « un vagabond saisit le corps décapité » avant qu’il retombe, et en bu le sang.. ». »

La dernière instance enregistrée de cette pratique en Allemagne s’est produite en 1865.

Histoire: L’auteur le Dr Richard Sugg, de l’Université de Durham, plonge dans l’univers sombre du cannibalisme médicinal dans son nouveau livre « Momies, Cannibals and Vampires » (momies, cannibales et Vampires).

Alors que Jacques Ier avait refusé de prendre du crâne humain, son petit-fils Charles II aima tellement l’idée qu’il acheta la recette. Ayant payé peut-être £ 6,000 pour cela, il distillait souvent du crâne humain lui-même dans son laboratoire privé.

Dr Sugg dit: « En conséquence connu depuis longtemps sous le nom de « gouttes de roi », ce remède fluidique a été utilisé contre l’épilepsie, les convulsions, les maladies de la tête, et souvent comme un traitement d’urgence pour les mourants.

« Ce fut la toute première chose que Charles rechercha le 2 Février 1685, au début de sa dernière maladie, et qu’on lui administra, non seulement sur son lit de mort, mais sur celui de la Reine Mary en 1698.

Les recherches du Dr Sugg seront présentées dans un prochain documentaire de Channel 4, avec Tony Robinson, dans lequel ils reconstituent des versions de traitements cannibales plus anciens à l’aide de cervelles, sang, et crâne de porcs.

Le livre, intitulé « Mummies, Cannibals and Vampires » (momies, cannibales et Vampires) sera publié le 29 Juin par Routledge, et retrace l’histoire de la médecine européenne en grande partie oubliée du cadavre, de la Renaissance à l’époque victorienne.

Voir également cet article du Dr Sugg dans le journal médical The Lancet.

Source: dailymail


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par Viny Eden
mon e-mail est soleilpourtous@hotmail.com

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Leur retour triomphal aux nobles valeurs du cannibalisme : clergé, noblesse, bourgeoisie et université


L’HEMOPHAGIE

Le cannibalisme du sang (hémophagie) fut de tous les temps et de tous les lieux.

Les prêtres des Mochicas du Pérou (200 av. J.-C. à 700 apr. J.-C. environ) pratiquaient des sacrifices humains : ils égorgeaient les victimes, collectaient leur sang dans des bols et le buvaient.

Dans la Rome impériale, il arrivait que des spectateurs se précipitassent dans l'arène pour boire le sang des gladiateurs morts ; ce sang était censé guérir les épileptiques et porter bonheur si l’on y trempait les cheveux.

Sous la Révolution française le sang des aristocrates guillotinés fut parfois offert aux pauvres comme boisson reconstituante et il est attesté que des enragés dévorèrent le foie de leurs victimes lors des massacres de septembre 1792.
En mars 1883, Alferd Packer, accusé d'avoir consommé la chair de ses cinq camarades dans les montagnes rocheuses du Colorado où leur expédition s'était perdue, fut condamné à la peine de mort pour cannibalisme. Sa sentence fut commuée en 40 ans de prison par la Cour suprême des États-Unis d'Amérique en 1886. Packer devint, paraît-il, végétarien et s'éteignit en prison le 24 avril 1907.

« Tous les mythes d'origine et de légitimation de la royauté dans le Pacifique sont fondés sur le cannibalisme et l'inceste commis par les dieux. D'ailleurs, c'est la même chose pour ceux de la civilisation de la Grèce antique. Et cela ne nous empêche pas de l'admirer et de la considérer comme les racines de la nôtre ! » Dans l'un des premiers épisodes de « La théogonie » d'Hésiode, véritable scénario de la création du monde selon les Grecs, le dieu Cronos, qui, avec la complicité de sa mère Gaia, avait émasculé son détesté père Ouranos, une fois devenu lui-même reproducteur, redoutait de subir le même sort. Il prit donc, au grand désespoir de son épouse Rhéa, les devants en dévorant ses propres enfants dès leur venue au monde.

Le cannibalisme serait l'inévitable conséquence de la misère économique et physiologique dans laquelle sont plongées beaucoup de populations et aussi et surtout les conséquences des rituels religieux des classes bourgeoises, rituels dirigés par des sorciers/prêtres, des druides conseillers des rois et des reines, et .....

CITATIONS

Les habitants de la Terre de Feu ont été soupçonnés avec raison de cannibalisme ; ils sont dans l'usage de tuer leurs plus vieilles femmes, pour les dévorer, lorsqu'ils craignent de manquer de vivres. (François de Lacroix 1582-1644)

Un cannibale est un homme qui aime son prochain avec de la sauce. (Jean Rigaux 1909-1991)

LE CANNIBALISME EST UN VICE DES CLASSES BOURGEOISES..... Une connaissance plus approfondie des populations dites sauvages a prouvé qu'elles ont d'autres ressources que la chasse, la pêche et la cueillette. Presque toutes pratiquent l'horticulture. Les plus cannibales d'entre elles élèvent des animaux domestiques comme le porc et la chèvre. Si le cannibalisme provenait de la rareté des subsistances, il devrait être au minimum là où abondent les fruits spontanés du sol et au maximum dans les régions polaires, où l'homme ne vit que des produits de sa chasse et de sa pêche. Or le contraire est vrai. Les Eskimo sont à peu près étrangers au cannibalisme, qui est extrêmement développé dans les régions forestières de l'Afrique et de l'Amérique, où foisonnent le gibier et les fruits.



Les Dirigeants Internationaux ont toutes les caractéristiques des SOCIOPATHES

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''LE CORPS ET LE SANG DU CHRIST: BUVEZ-EN TOUS, CECI SERA LE SCEAU DE L'ALLIANCE (DIABOLIQUE) ÉTERNELLE..... EN RÉMISSIONS DE VOUS PÉCHEURS

: Mt: 26/26-29

26 26 Or, tandis qu'ils mangeaient, Jésus prit du pain, le bénit, le rompit et le donna aux disciples en disant: "Prenez, mangez, ceci est mon corps."
26 27 Puis, prenant une coupe, il rendit grâces et la leur donna en disant: "Buvez-en tous;
26 28 car ceci est mon sang, le sang de l'alliance, qui va être répandu pour une multitude en rémission des péchés.
26 29 Je vous le dis, je ne boirai plus désormais de ce produit de la vigne jusqu'au jour où je le boirai avec vous, nouveau, dans le Royaume de mon Père."
22 17 Puis, ayant reçu une coupe, il rendit grâces et dit: "Prenez ceci et partagez entre vous;
22 18 car, je vous le dis, je ne boirai plus désormais du produit de la vigne jusqu'à ce que le Royaume de Dieu soit venu."
22 19 Puis, prenant du pain, il rendit grâces, le rompit et le leur donna, en disant: "Ceci est mon corps, donné pour vous; faites cela en mémoire de moi."
22 20 Il fit de même pour la coupe (jus de raisin et non du vin car il ne voulait plus boire le produit fermenté de la vigne) après le repas, disant: "Cette coupe est la nouvelle Alliance en mon sang, versé pour vous.

Saint Jean : le pain de vie

Discours de Jésus sur le pain de vie (CANNIBALISME: du symbolisme à la réalité actuelle)

6 51 Je suis le pain vivant, descendu du ciel. Qui mangera ce pain vivra à jamais. Et même, le pain que je donnerai, c'est ma chair pour la vie du monde."
6 52 Les Juifs alors se mirent à discuter fort entre eux; ils disaient: "Comment celui-là peut-il nous donner sa chair à manger?"
6 53 Alors Jésus leur dit: "En vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l'homme et ne buvez son sang, vous n'aurez pas la vie en vous.
6 54 Qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle et je le ressusciterai au dernier jour.
6 55 Car ma chair est vraiment une nourriture et mon sang vraiment une boisson.
6 56 Qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi et moi en lui.
6 57 De même que le Père, qui est vivant, m'a envoyé et que je vis par le Père, de même celui qui me mange, lui aussi vivra par moi.




SOCIOPATHES royaux :
--- Ils n'ont aucune conscience
--- Ils n'ont aucun remord
--- Ils sont aspergers car INSENSIBLES aux humains
--- Ils sont pires que les autistes
--- Ils sont dysphasiques (déconnecté de la réalité qui est NOUS
--- ..............

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Il faut vraiment être malades pour vouloir s'élever au-dessus des autres et non AVEC les autres


Pourtant, depuis Freud, il est admis que l'anthropophagie est, avec l'inceste et le parricide, l'un des trois interdits fondamentaux de l'espèce humaine. Erreur, s'insurge l'écrivain Martin Monestier. Dans son stupéfiant livre « Cannibales : histoire et bizarreries de l'anthropophagie, hier et aujourd'hui « (2), il montre à l'envi, par le texte et l'iconographie, que ce tabou-là n'a cessé, et ne cesse, d'être allègrement transgressé par les hommes depuis la nuit des temps. « Tout au long des siècles, écrit-il, se profile le cannibalisme alimentaire, tantôt de pénurie, tantôt gastronomique. Le cannibalisme guerrier tend à s'accaparer les vertus de l'adversaire ; le cannibalisme sacré veut imiter les dieux ou évoquer les ancêtres ; le cannibalisme médical espère protéger les vivants ; le cannibalisme de vengeance désire humilier en rendant son ennemi à l'état de viande de boucherie ; le cannibalisme judiciaire sert à rétablir l'ordre social ; le cannibalisme érotique s'introduit dans les plaisirs de l'amour pour stimuler la volupté. Et le cannibalisme pathologique serait la matérialisation du fantasme anthropophagique agitant chaque individu dans toutes les sociétés.http://nsa27.casimages.com/img/2011/08/27/110827075227915918.gif

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Le cannibalisme tire son son origine d'une passion, de l'embourgeoisement de certains dans des gamiques qui faisaient et qui font encore des PACTES DE SANGS ET..... L'usage est d'exclure du banquet anthropophagique les femmes et les enfants pour en faire un privilège sacerdotal et aristocratique.











Attention aux âmes sensibles, ne regardez pas cette photo où la reine montre un regard diabolique




Le progrès des techniques de laboratoire, notamment le microscope électronique à balayage, ont permis de montrer que de nombreux os humains fossiles portaient les traces d'un dépeçage réalisé avec des outils de pierre. Ainsi, sur le site de Krapina, en Croatie, où vivaient des néandertaliens, une bonne partie des quelque 800 os humains découverts avaient, sans conteste, été incisés (pour en détacher les chairs ?), brisés (pour en extraire la délicieuse moelle ?) ou brûlés (à l'issue d'un barbecue ?






























Voici des photos très révélatrices .... jugez-en par vous-mêmes .....




































Est-ce la reine grand-mère, Mary? .... car ce matriarcat mafieux britanno/germano/Italo/Espano/Franco.... semble dirigé par les plus Anciens qui supervisent les jeunes rois et reines et ce jusqu'à la mort des Anciens tout comme les Druides le faisaient


Le guerrier mange le vaincu

Le guerrier mange le vaincu, surtout son foie ou son coeur, organes où siège le courage, pour s'en attribuer les vertus et, au passage, humilier sa tribu. Une pratique qui plonge ses racines dans l'universel - et toujours d'actualité - principe d'incorporation. L'(h)omnivore est persuadé qu'il devient ce qu'il mange : il a un sang de navet s'il abuse de ce légume, il se refait du sang en mangeant de la viande rouge, il se sent génétiquement manipulé s'il ingurgite des OGM, il ne fait qu'un avec ses ancêtres s'il les boulotte en famille après leur mort. C'est également ce principe d'incorporation que l'on retrouve, dans la religion catholique, dans le sacrement central de la communion (voir encadré).

L'exocannibalisme est le fait de manger réellement ou symboliquement la chair d'un ennemi ; il exprime la férocité, la revanche et l’appropriation des qualités guerrières de l’adversaire : la bravoure et la force notamment.

Du détroit de Béring à la Terre de Feu, la pratique rituelle du cannibalisme, essentiellement de vengeance, était monnaie courante. Pour s'en convaincre, lire l'extraordinaire « Relation véridique et précise des moeurs et coutumes des Tupinamba » (4), de l'arquebusier Hans Staden.

Ce mercenaire allemand du XVIe siècle, qui fut capturé sur le littoral atlantique du Brésil par cette tribu, dut, en arrivant au village d'Ubatuba - la coutume, c'est la coutume - annoncer lui-même : « C'est moi qui arrive, moi votre nourriture... »

Durant neuf longs mois, il a vécu la chronique d'une dévoration annoncée. La sienne. Avant d'être racheté, in extremis, par des marins français, il eut tout loisir d'observer en direct les étapes de ce rituel destiné à venger les morts de la tribu. Plusieurs autres prisonniers subirent, en effet, ce sort durant sa propre captivité. « J'ai vu toutes ces cérémonies et j'y ai assisté », dit-il. Ces scènes, il les a même dessinées dans son livre. A l'issue des cérémonies, auxquelles le futur plat de résistance participe de bout en bout, l'exécuteur s'approche du prisonnier et lui dit, rapporte Staden : «"Me voici ! je viens pour te tuer ; car les tiens ont tué et dévoré un grand nombre des miens." Le prisonnier lui répond : "Quand je serai mort, mes amis me vengeront." Au même instant, l'exécuteur lui assène sur la tête un coup qui fait jaillir la cervelle. Les femmes s'emparent alors du corps, le traînent auprès du feu... »


Les rites de la chair

Le Point - Publié le 12/05/2000 à 18:25 - Modifié le 16/01/2007 à 18:25

Pourtant, depuis Freud, il est admis que l'anthropophagie est, avec l'inceste et le parricide, l'un des trois interdits fondamentaux de l'espèce humaine. Erreur, s'insurge l'écrivain Martin Monestier. Dans son stupéfiant livre « Cannibales : histoire et bizarreries de l'anthropophagie, hier et aujourd'hui « (2), il montre à l'envi, par le texte et l'iconographie, que ce tabou-là n'a cessé, et ne cesse, d'être allègrement transgressé par les hommes depuis la nuit des temps. « Tout au long des siècles, écrit-il, se profile le cannibalisme alimentaire, tantôt de pénurie, tantôt gastronomique. Le cannibalisme guerrier tend à s'accaparer les vertus de l'adversaire ; le cannibalisme sacré veut imiter les dieux ou évoquer les ancêtres ; le cannibalisme médical espère protéger les vivants ; le cannibalisme de vengeance désire humilier en rendant son ennemi à l'état de viande de boucherie ; le cannibalisme judiciaire sert à rétablir l'ordre social ; le cannibalisme érotique s'introduit dans les plaisirs de l'amour pour stimuler la volupté. Et le cannibalisme pathologique serait la matérialisation du fantasme anthropophagique agitant chaque individu dans toutes les sociétés. »

« Ainsi fut sauvé Zeus... »

Loin d'être l'apanage de quelques rares assassins hors normes - comme le Japonais Issei Sagawa qui, à Paris, en 1981, eut, pour sa petite amie néerlandaise, une passion littéralement dévorante, ou, pis, comme les Américains Ottis Tool et Henry Lee Lucas, qui, chacun de leur côté puis en couple, tuèrent de 160 à 180 personnes, dont ils goûtèrent la chair dans les années 70, ou encore comme Andreï Tchikatilo, le « boucher de Rostov » qui, avant d'être arrêté en 1990, avait tué et ingéré au moins 52 victimes -, l'anthropophagie fait partie intégrante de l'histoire de l'humanité.

C'est si vrai que, dans de multiples sociétés, les mythes de la création font peu ou prou référence à la transgression de nombreux tabous dont, en premier lieu, celui qui frappe l'anthropophagie. Exemple donné par le préhistorien Daniel Frimigacci (voir « L'odyssée de l'espèce », Le Point n° 1377) : « Tous les mythes d'origine et de légitimation de la royauté dans le Pacifique sont fondés sur le cannibalisme et l'inceste commis par les dieux. D'ailleurs, c'est la même chose pour ceux de la civilisation de la Grèce antique. Et cela ne nous empêche pas de l'admirer et de la considérer comme les racines de la nôtre ! »

Dans l'un des premiers épisodes de « La théogonie » d'Hésiode, véritable scénario de la création du monde selon les Grecs, le dieu Cronos, qui, avec la complicité de sa mère Gaia, avait émasculé son détesté père Ouranos, une fois devenu lui-même reproducteur, redoutait de subir le même sort. Il prit donc, au grand désespoir de son épouse Rhéa, les devants en dévorant ses propres enfants dès leur venue au monde. A la naissance de son sixième bébé, Rhéa prit une pierre, l'enveloppa de langes et la donna à Cronos qui l'avala sans se douter du subterfuge. « Ainsi fut sauvé Zeus, le futur roi des dieux », constate Jacques Lacarrière dans « Au coeur des mythologies » (3).

Quelque 800 os humains

Du mythe à la pratique, il n'y a qu'un pas que nos ancêtres les hommes de Neandertal et de Cro-Magnon ont, apparemment, franchi. Depuis la fin des années 70, la précision des fouilles comme le progrès des techniques de laboratoire, notamment le microscope électronique à balayage, ont permis de montrer que de nombreux os humains fossiles portaient les traces d'un dépeçage réalisé avec des outils de pierre. Ainsi, sur le site de Krapina, en Croatie, où vivaient des néandertaliens, une bonne partie des quelque 800 os humains découverts avaient, sans conteste, été incisés (pour en détacher les chairs ?), brisés (pour en extraire la délicieuse moelle ?) ou brûlés (à l'issue d'un barbecue ?).

Les artistes de Lascaux et de la grotte Chauvet ne furent pas en reste. Ils ont laissé derrière eux quantité d'ossements de Cro-Magnon ayant subi les mêmes outrages que ceux qu'infligeait Neandertal à Neandertal. Ces hommes du paléolithique perpétuaient ainsi la tradition déjà ancienne du repas cannibale inaugurée par Homo erectus, beaucoup plus primitif, qui vivait à Tautavel, dans le sud de la France, trois cent mille ans avant eux.

Et pourtant, à l'époque, les néandertaliens furent les premiers humains à enterrer leurs morts. Mais peut-être ne considéraient-ils comme véritablement humains que les seuls membres de leur tribu... Après tout, cela se passait ainsi il n'y a pas si longtemps dans de nombreuses sociétés traditionnelles et en Europe au temps de Christophe Colomb, comme en témoigne la controverse de Valladolid sur l'humanité des Indiens Caraïbes. Quoi qu'il en soit, le plus naturellement du monde, sans que la plupart du temps entre dans cette pratique une quelconque perversion, l'Homme avec un grand H a mangé de l'homme avec un h minuscule, démontre Martin Monestier en insatiable comptable des bizarreries de notre étrange espèce.

Le guerrier mange le vaincu

L'Homme mange de l'homme par nécessité, comme sur le radeau de la « Méduse » en 1816, lors de la grande sécheresse de 1922 en Russie, durant le siège de Leningrad en 1941 ou, en 1972, après un accident d'avion dans la cordillère des Andes. Les trente survivants du crash, dont une équipe de rugby uruguayenne, survécurent ainsi soixante-dix jours durant par - 40 °C avant d'être secourus...

Cette anthropophagie de survie, même si elle soulève des haut-le-coeur, est comprise et absoute par l'opinion publique, les tribunaux et les Eglises. Les marins naufragés de la « Felicia » en 1875, de la « Victoria » en 1884, du « Britannia » en 1885, qui ont, comme dans la chanson, mangé leur mousse, ont par la suite été relaxés par les tribunaux, constate Martin Monestier.

Le guerrier mange le vaincu, surtout son foie ou son coeur, organes où siège le courage, pour s'en attribuer les vertus et, au passage, humilier sa tribu. Une pratique qui plonge ses racines dans l'universel - et toujours d'actualité - principe d'incorporation. L'(h)omnivore est persuadé qu'il devient ce qu'il mange : il a un sang de navet s'il abuse de ce légume, il se refait du sang en mangeant de la viande rouge, il se sent génétiquement manipulé s'il ingurgite des OGM, il ne fait qu'un avec ses ancêtres s'il les boulotte en famille après leur mort. C'est également ce principe d'incorporation que l'on retrouve, dans la religion catholique, dans le sacrement central de la communion (voir encadré).

Lorsque les Européens, dans le sillage des Vasco de Gama et autres Colomb, se lancèrent à la découverte mercantile du monde dans le bruit des armures, le feu des mousquets et la fureur des massacres, ils découvrirent avec stupeur que, aux Amériques, en Afrique et en Océanie, le cannibalisme, dont on ne connaissait en Occident que les versions mythiques et de survie, était couramment pratiqué au grand jour, sans honte ni perversité excessive. Le terme « canibal », francisé en « cannibale », a d'ailleurs été créé au XVIe siècle par les explorateurs espagnols à partir du mot « caribal » qui, dans la langue des habitants des Caraïbes, signifie « hardi », et non pas mangeur de chair humaine.

Du détroit de Béring à la Terre de Feu, la pratique rituelle du cannibalisme, essentiellement de vengeance, était monnaie courante. Pour s'en convaincre, lire l'extraordinaire « Relation véridique et précise des moeurs et coutumes des Tupinamba » (4), de l'arquebusier Hans Staden.

Ce mercenaire allemand du XVIe siècle, qui fut capturé sur le littoral atlantique du Brésil par cette tribu, dut, en arrivant au village d'Ubatuba - la coutume, c'est la coutume - annoncer lui-même : « C'est moi qui arrive, moi votre nourriture... »

Durant neuf longs mois, il a vécu la chronique d'une dévoration annoncée. La sienne. Avant d'être racheté, in extremis, par des marins français, il eut tout loisir d'observer en direct les étapes de ce rituel destiné à venger les morts de la tribu. Plusieurs autres prisonniers subirent, en effet, ce sort durant sa propre captivité. « J'ai vu toutes ces cérémonies et j'y ai assisté », dit-il. Ces scènes, il les a même dessinées dans son livre. A l'issue des cérémonies, auxquelles le futur plat de résistance participe de bout en bout, l'exécuteur s'approche du prisonnier et lui dit, rapporte Staden : «"Me voici ! je viens pour te tuer ; car les tiens ont tué et dévoré un grand nombre des miens." Le prisonnier lui répond : "Quand je serai mort, mes amis me vengeront." Au même instant, l'exécuteur lui assène sur la tête un coup qui fait jaillir la cervelle. Les femmes s'emparent alors du corps, le traînent auprès du feu... »

Le festin des nobles

A Wallis-et-Futuna, jusqu'il y a peu, l'Homme mangeait l'homme pour consolider l'institution sociale. Les humains y étaient classés en deux catégories : les nobles, qui, comme chacun sait, sont habités par les dieux, et les autres... Pour nourrir ces dieux intérieurs, lors des fêtes de la récolte ou pour l'intronisation des chefs, il fallait manger de la chair humaine, en l'occurrence soit des prisonniers de guerre, soit les « autres ». Par exemple des voisins imprudemment égarés sur le territoire de la tribu, et même des morts, ou les « non-nobles » de son propre groupe. Pour éviter les abus, germes des pénuries futures, les chefs devaient parfois aller jusqu'à fermer la chasse à l'homme, comme ils le faisaient pour la cueillette des fruits.


La question du philosophe des Lumières reste d'actualité, affirme Martin Monestier, qui précise : « A l'heure actuelle, on assiste partout à une résurgence du cannibalisme sous toutes ses formes. Principalement rituel en Afrique et en Amérique du Sud, pathologique et criminel en Amérique du Nord, criminel et de subsistance en Europe de l'Est et en Asie. » Le pervers et sadique Hannibal Lecter est en bonne compagnie..... Et surtout toutes ces Sectes, ces Clubs, ces Clans, ces CONFRÉRIES et autres SOCIÉTÉS SECRÈTES et qui opèrent encore des rituels ancestraux pour s'obliger au silence et.....

VAMPIRISME DES CLASSES BOURGEOISES DÉVIANTES ET SANS MORALE

En 1901, dans une thèse soutenue à la faculté de médecine de Lyon, le futur Dr Alexis Epaulard utilisa pour la première fois le terme de "vampire", non pas pour désigner un buveur de sang mais un nécrophile : Victor Ardisson, le "vampire" de Muy.
On a longtemps employé le terme de « vampire » pour des malades se livrant à des actes de nécrophilie, de nécrosadisme voir de nécrophagie, bien que, pour des raisons évidentes, il n’y eut pas, dans ces cas, de succion de sang. À l’inverse, certains individus, tels que les vampires de Hanovre, de Düsseldorf, de Londres et de Nuremberg, ont une fascination réelle pour le sang et non la mort

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Cannibalisme

De nombreux rapports écrits et témoignages rassemblés par la section australienne pour les crimes de guerre du tribunal de Tokyo, examinés par le procureur William Webb (futur juge en chef), montrent que des Japonais ont commis dans plusieurs parties de l’Asie ou du Pacifique des actes de cannibalisme contre des prisonniers de guerre alliés ou des populations civiles. Dans certains cas, ces actes furent le résultat de l’accroissement des attaques alliées sur les lignes de ravitaillement japonaises et des décès et des maladies frappant les soldats japonais en raison de la famine qui s’ensuivit. Toutefois, selon l’historien Yuki Tanaka, « le cannibalisme était souvent une activité systématique menée par des compagnies entières agissant sous le commandement d’officiers10. »

Dans certains cas, la chair était prélevée sur des personnes en vie : un prisonnier indien, le Lance Naik Hatam Ali (qui devait plus tard devenir citoyen pakistanais) témoigna qu’en Nouvelle-Guinée :

« Les Japonais commencèrent à sélectionner les prisonniers et chaque jour un prisonnier était tué et mangé par les soldats. J’ai vu cela personnellement et près de 100 prisonniers furent tués et mangés par les soldats à cet endroit. Ceux d’entre nous qui restaient furent emmenés à un autre endroit situé à 80 km où dix prisonniers moururent de maladie. À cet endroit, les Japonais recommencèrent à sélectionner des prisonniers en vue de les manger. Ceux qui étaient sélectionnés étaient amenés dans une hutte où leur chair était prélevée sur leurs corps alors qu’ils étaient encore en vie. Ils étaient ensuite jetés dans un fossé où ils finissaient par mourir »11

L'un des officiers connus le plus élevé en grade à avoir été convaincu de cannibalisme fut le Lt. Général Yoshio Tachibana qui, avec onze autres soldats japonais fut jugé pour l’exécution d’aviateurs de l’U.S. Navy et le cannibalisme perpétré sur au moins un d’entre eux en août 1944 sur l’île de Chichi Jima dans l'archipel d'Ogasawara. Ils furent décapités sur les ordres de Tachibana. Comme les lois militaires et internationales ne contenaient pas de dispositions spécifiques au cannibalisme, ils furent jugés pour meurtre et « refus d'une sépulture honorable ». Tachibana fut condamné à mort12.

L'endocannibalisme, pratique funéraire, est le fait d’ingérer les restes d’un parent décédé.

Certains réduisent en poudre les ossements d'un défunt auxquels ils ajoutent de la bière de manioc, et font boire cette mixture aux proches parents. Les ossements sont censés contenir les éléments vitaux de l'esprit de la personne morte qui sont ainsi transmis aux consommateurs.
D’autres ingèrent seulement le cerveau et/ou le cœur, sièges supposés de l’âme du disparu.
Il est avéré que certaines Chinoises mangent leur embryon ou leur foetus après une fausse couche. Il n’est pas exclu que cette pratique soit plus répandue dans le monde qu’on n’ose le croire.

Après la Première Guerre mondiale, William Buehler Seabrook, journaliste au New York Times, voyagea en Afrique où il s’interrogea sur le cannibalisme. Il finit par rencontrer une tribu d’anthropophages qui mangeaient leurs ennemis tués au combat. Un des guerriers lui expliqua quelles parties étaient le plus appréciées : pour la viande, tout le dos (ce qui correspond, chez le bœuf, à l’entrecôte, au filet et au rumsteck), pour les abats, le foie, le cœur et le cerveau étaient considérés comme les morceaux de choix. Un guerrier lui avoua que, pour lui, "la paume des mains était le plus tendre et délicieux morceau de tous". Revenu en France, il réussit à se procurer un morceau de chair auprès d’un interne de la Sorbonne et, dans la villa du baron Gabriel des Hons, à Neuilly, se livra enfin à son expérience, devant témoins. Il cuisina la viande et la goûta : "Cela ressemblait à de la bonne viande de veau bien développé, pas trop jeune mais pas encore un bœuf. C’était indubitablement comme cela, et cela ne ressemblait à aucune autre viande que j’aie déjà goûtée. C’était si proche d’une bonne viande de veau bien développé que je pense que personne qui soit doté d’une sensibilité normale n’aurait pu le distinguer du veau."


Après la Première Guerre mondiale, William Buehler Seabrook, journaliste au New York Times, voyagea en Afrique où il s’interrogea sur le cannibalisme. Il finit par rencontrer une tribu d’anthropophages qui mangeaient leurs ennemis tués au combat. Un des guerriers lui expliqua quelles parties étaient le plus appréciées : pour la viande, tout le dos (ce qui correspond, chez le bœuf, à l’entrecôte, au filet et au rumsteck), pour les abats, le foie, le cœur et le cerveau étaient considérés comme les morceaux de choix. Un guerrier lui avoua que, pour lui, "la paume des mains était le plus tendre et délicieux morceau de tous". Revenu en France, il réussit à se procurer un morceau de chair auprès d’un interne de la Sorbonne et, dans la villa du baron Gabriel des Hons, à Neuilly, se livra enfin à son expérience, devant témoins. Il cuisina la viande et la goûta : "Cela ressemblait à de la bonne viande de veau bien développé, pas trop jeune mais pas encore un bœuf. C’était indubitablement comme cela, et cela ne ressemblait à aucune autre viande que j’aie déjà goûtée. C’était si proche d’une bonne viande de veau bien développé que je pense que personne qui soit doté d’une sensibilité normale n’aurait pu le distinguer du veau."


CROISADES

Des expéditions très sanglantes

Une fois les villes conquises, les troupes chrétiennes et leurs chefs, se livraient à des atrocités qui faisaient frémir les chroniqueurs chrétiens qui en avaient été les témoins, certains se plaisaient à pratiquer le cannibalisme. Ainsi, après la mise à sac de la Palestine, Raoul de Caen, chroniqueur de la Première Croisade écrivait : « A Maarat, les nôtres firent cuire les païens adultes dans des marmites et embrochèrent les enfants pour les manger rôtis. » Le chroniquer arabe Usana ibn Munqidh, qui avait connu dans sa chair les atrocités de la deuxième te troisième croisade, notait dans ses mémoires : « Quand on nous eu informés sur les frany (nom donné par les Arabes aux Croisés), nous vîmes en eux des bêtes nuisibles qui ont une supériorité dans la valeur et l'ardeur au combat mais rien d'autre, tout comme les animaux ont une supériorité dans la force et l'agressivité. » Et cet autre : « Les frany passèrent au fil du couteau la population de la Cité sainte et tuèrent des Musulmans pendant une semaine. Dans la mosquée Al-Aqsa, ils massacrèrent 60 000 personnes. Ils réunirent et enfermèrent les Juifs dans leur synagogue et les y brûlèrent vifs. » Même leurs coreligionnaires n'échappèrent pas à la fureur sacrée des troupes européennes : tous les prêtres et pratiquants des rites orientaux résidant à Jérusalem furent expulsés de la ville et beaucoup assassinés. Plusieurs prêtres coptes qui savaient où se trouvait cachée « la Sainte croix du Christ » furent férocement torturés afin qu'ils livrent leur secret.

Durant la Seconde Guerre mondiale les soldats japonais commirent des actes de cannibalisme à l'encontre des prisonniers et des populations civiles dans les territoires occupés.
Ces actes ont pu être motivés par la famine dans certains cas ; mais selon l'historien Yuki Tanaka, « le cannibalisme était souvent une activité systématique menées par des escouades entières et sous le commandement d'officiers ».
Les plus hauts gradés connus ayant pratiqué le cannibalisme sont le lieutenant-général Yoshio Tachibana (qui, avec 11 membres de son personnel, a été jugé pour avoir fait manger un aviateur américain en août 1944 à Chichi Jima) et le vice-amiral Mori (pour avoir mangé un prisonnier lors d'une réception en février 1945).
Selon le témoignage de plusieurs prisonniers, tel que celui du soldat indien Hatam Ali, les victimes étaient parfois dépecées vivantes.


On a rapporté que, durant la guerre du Vietnam (1959-1975), des soldats vietcongs ingéraient le foie de leurs ennemis pour s’approprier leur force.
La presse a publié des photos d’enfants-soldats laotiens exhibant les foies humains qu’ils allaient consommer.

Dans Stèles rouges, l'écrivain Zheng Yi raconte comment, au cours d'une enquête dans la province de Guangxi, il découvrit de nombreux cas de cannibalisme qui eurent lieu durant la révolution culturelle : "Aussi parle-t-on rarement de ce qui 6 arriva en Chine en 1968, en pleine révolution culturelle. Des étudiants du Guangxi ont mangé leur professeur, et le cannibalisme politique est devenu une expression admissible de la cruauté révolutionnaire. Des hommes étaient découpés vivants, on organisait des festins de chair humaine rituels auxquels chaque camarade se devait de prendre part.”


confréries

Le 27 juillet 2009, devant le Tribunal spécial pour la Sierra Leone (TSSL), l'ancien président libérien Charles Taylor, poursuivi pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité et interrogé à propos de la déposition d'un témoin de l'accusation racontant qu'il avait mangé de la chair humaine avec Charles Taylor lors d'une cérémonie de la société secrète Poro dont l'accusé est aujourd'hui encore le chef, déclara qu'il ne s'était jamais livré au cannibalisme au Liberia, et qu'il n'avait "jamais ordonné à aucun combattant de manger qui que ce soit", en précisant qu'il "ne contestait pas qu'il y ait des cannibales dans certaines parties du Liberia".

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L’origine des maladies à prions pourrait bien être le cannibalisme

Caducee.net, le 11/4/2003

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D’après une étude épidémio-génétique réalisée à la fois sur les populations cannibales de Papouasie-Nouvelle Guinée et sur différentes populations du globe, il apparaît exister de nombreuses évidences anthropologiques allant dans le sens d’une origine préhistorique des maladies à Prions transmissibles à l’homme et véhiculées par les pratiques cannibales courantes avant notre ère.

Le polymorphisme du gène PRNP, codant pour la protéine prion humaine, et notamment une forme mutée de ce gène (PRNP129), confère à l’état hétérozygote une relative résistance aux maladies à prions (sélection compensatoire).

L’équipe de John Collinge (University College Queen Square, Londres) a étudié parmi une population de femmes de Papouasie-Nouvelle-Guinée (Les Fores) pratiquant le cannibalisme, le polymorphisme du gène PRNP. Elle s’est aperçue que 23 des 30 femmes étudiées étaient porteuses à l’état hétérozygote de la mutation M129V. Il a été montré que cette mutation confère par ailleurs une résistance à la maladie de Creutzfeld-Jakob (MCJ), une encéphalopathie spongiforme semblable au Kuru, la maladie observée parmi cette population.

La mutation M129V (ou bien E219K) a été retrouvée par les chercheurs sur l’ensemble du globe, et l’analyse des régions d’ADN entourant ces mutations a révélé que le polymorphisme du gène prion remontait probablement à plus de 500000 ans.

D’après les chercheurs, le polymorphisme du gène PRNP remonterait à des périodes préhistoriques et la fréquence de son apparition à travers le monde plaiderait en faveur d’une pratique courante du cannibalisme avant notre ère.

Source: Science 11 avril 2003;www.sciencexpress.org/10 april 2003/page 1/ 10.1126/science.1083320


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